Notre cheminement en ligne « Mon juste milieu » n’est pas cher, pourquoi ?

Nos engagements, nos combats.

Cela fait maintenant plus de 10 ans que chez Sens Premiers, on s’est engagés dans un intérêt, puis un combat, ensuite une lutte et aujourd’hui une transmission apaisée de ce qu’est l’effondrement systémique de la biodiversité et de l’urgente et nécessaire résilience à déployer en soi et dans le monde.

Nous sommes sans doute passés par les différentes phases du deuil : d’abord le déni, puis la colère, ensuite la tristesse, le marchandage puis finalement l’acceptation.

Nous sommes allés mener combat chez Extinction Rébellion, puis Adaptation Radicale, nous avons cotoyé L.214, nous avons fait des ateliers de travail qui relient. Nous nous sommes formés à la permaculture humaine.

Nous avons fait des vacances aux Amanins et dans des écolieux.

Nous avons déployé pour nous même un plan d’action du quotidien pour faire ce qu’il faut d’abord chez nous (compost, maraîchage, isolation, récupération et gestion de l’eau,  coopération avec les animaux, récupération de graines, fabrication de produits cosmétiques, zéro déchet, banque éthique,  etc.).

Nous avons testé certaines choses puis laissé tombé d’autres choses. Nous avons participé à des opérations de croundfounding pour la diffusion du film “Animal” de Cyril Dion, pour le déploiement des zones de buzz. Nous adhérons à la LPO. Nous reversons en banque éthique des intérêts à WWF.

Nous allons à des conférences pour rester informés.

Nous avons donné à Reforestaction. Nous signons des pétitions et diffusons les informations importantes sur la destruction du vivant. Nous avons fait des formations chez Les Colibris. 

Nous nous sommes investis et nous avons longtemps pensé que chaque geste compte. Mais aujourd’hui ce n’est plus suffisant. Nous devons passer à la vitesse supérieure, nous avons conscience que tous ces gestes doivent être accompagnés de politiques publiques à fort impact. Et nous sommes bien démunis face aux scores médiocres des partis verts aux dernières élections et au manque d’engagement réel et sincère de nos états, l’échec des accords du G7, la frilosité de la cop 26 de Glasgow, l’effondrement des projets de la convention citoyenne en France…

Nous avons vu la limite de nos petits engagements, pourtant on doit continuer à agir. Alors nous avons réuni nos compétences, nos valeurs, notre éthique et nous avons retroussé nos manches pour proposer un parcours de transition professionnelle en ligne accessible au plus grand nombre.

 

Pas de dossier à monter, pas de paperasse.

Lorsque l’on veut faire un bilan de compétences, il nous faut d’abord valider une demande auprès d’un conseiller, puis mobiliser nos fonds publiques (CPF) pour financer le projet, il faut donc passer par des étapes administratives compliquées, chronophages, monter des dossiers et attendre des accords de prise en charge.

Nous ne voulions pas de cette complexité ; nous avons travaillé pour rendre accessible et facile l’accès au parcours en ligne qui présentent des étapes similaires à celle d’un bilan de compétences, enrichis d’outils issus de la systémie et de la permaculture.

 

Proposer un juste prix.

Un bilan de compétences coûte 1500 euros en moyenne, un accompagnement en ligne pour changer de métier coûte entre 2000 et 4000 euros ! 

L’éthique de la permaculture suppose de prendre soin de la terre, prendre soin des humains, et partager équitablement les ressources. Dans notre éthique, le projet est donc plus important que le capital dans le sens où il n’en est pas le moteur.

Nous ne souhaitons pas rendre notre parcours inaccessible avec un prix exorbitant. Notre projet c’est d’aider le plus de personnes possibles à trouver une voie professionnelle vertueuse. C’est la raison pour laquelle notre parcours ne coûte que 149 euros.

 

Rester libre.

Obtenir des financements publics type CPF pour financer le parcours revient à se plier à un cahier des charges drastique et coûteux mais aussi à perdre de la liberté. Liberté de ton, liberté d’expression, liberté de proposer les outils de notre choix, les formats et les contenus qui nous semblent être les plus pertinents.

Ayant déjà exercé en tant que psychologue du travail sur une activité de bilan de compétences, on sait proposer des outils cohérents pour cheminer et avancer dans sa réflexion. Mais nous gardons cette liberté de ton qui est la nôtre et à laquelle nous ne renoncerons pas.

C’est aussi vous permettre d’aller à votre rythme et de disposer de cet outil sans échéance, sans contrainte.

 

Garder de la cohérence.

Nous prenons soin de nos relations, de nos idées et notre gouvernance est partagée, nous considérons que notre entreprise est d’utilité sociale car elle contribue à ce que chacun trouve vertueusement sa place dans la société ; mais aussi parce que nous sommes convaincus que continuer à proposer des postes dans des secteurs destructeurs ne rend pas service et pire encore concourt à l’échec programmé d’une carrière professionnelle. A quoi bon se former dans un métier qui va disparaître ? 

 

Notre intention.

Notre intention est donc de vous permettre de vous recentrer pour trouver votre juste milieu professionnel, dans le respect de la terre et du vivant.

On peut décider de retrouver du sens, de faire un pas de côté pour observer sa situation sous un autre angle. Il est possible de se redécouvrir pour savoir où l’on veut aller. Mais pas n’importe comment. On peut le faire en incluant sa réflexion dans le respect de la planète. En découvrant des métiers porteurs de sens, de valeurs, et en choisissant de s’y investir. 

 

Au final…Notre éthique.

Proposer un prix accessible au plus grand nombre.

Garder son authenticité, ne pas répondre à des codes qui ne nous parlent pas et ne pas faire de choix pour les mauvaises raisons. 

Combiner travail et mode de vie, respecter ses valeurs profondes.

Rester à mi-chemin entre les outils d’orientation conçus pour répondre aux politiques publiques et les outils alternatifs hors sol. Trouver le juste milieu, la juste synthèse et garder cette liberté de proposition. 

Etre en adéquation avec le respect de l’homme, le respect de la terre et du vivant, et la recherche d’équité.

Avec acceptation, résilience et apaisement, nous souhaitons aujourd’hui contribuer activement dans la lutte pour régénérer le vivant.