Crise écologique.
Les plus avertis sont bien conscients de la nécessité de changer de paradigme et de préserver nos ressources et la planète.
De plus en plus de cadres et de salariés aspirent à ralentir, changer de travail, vivre à la campagne, reconnecter à la nature et au vivant. Non seulement pour soi-même et préserver sa santé physique ou sa charge mentale mais également pour vivre plus doucement : réduire la consommation d’énergie, réduire la facture d’essence ou de déplacement, réduire les temps de trajet, travailler chez soi, consacrer plus de temps à sa vie personnelle, tisser un réseau local, travailler dans un secteur non polluant ou qui respecte davantage les écosystèmes.
Crise de sens.
Les dernières décennies ont mis en évidence à quel point l’évolution du rapport au travail devient de plus en plus compliqué pour chacun. Au fil des ans, la notion de souffrance au travail a pris de plus en plus d’espace dans la vie professionnelle. Les travaux de Marie-France Hirigoyen (1998) sur le harcèlement ont marqué un tournant dans la reconnaissance de cette souffrance.
Les années qui ont suivi ont tenté de mettre un terme à cette sémantique en mettant le focus sur le management du bien-être car le bien-être doit à présent se conduire avec des méthodes et des priorités au sein des équipes. Il est même demandé à chacun de travailler sur ses soft skills pour avoir un comportement acceptable en entreprise, de quoi générer du conformisme et des sanctions injustifiées au moindre désaccord.
On ne sait donc plus être ensemble. Et si on nous demande de l’être, ce n’est plus pour coopérer avec un intérêt commun et partagé, et trouver du sens à ce que l’on fait, mais pour produire davantage.
Pourtant la souffrance circule toujours autant dans le monde du travail. Les salariés rencontrent une crise du sens, ils ne savent plus vraiment ce qu’ils font là et ignorent leur raison d’être en lien avec les autres. La lassitude et la complexité des relations humaines dans des environnements toujours plus contraints ne permettent plus de coopérer, de se sentir utiles avec les autres, d’avancer avec élan et dans un esprit de groupe.
Nos instances régulatrices imposent des contrôles toujours plus défiants et il en découle paradoxalement de passer plus de temps à justifier de son travail qu’à le faire. Il est possible aujourd’hui d’affirmer qu’il est devenu difficile de travailler conjointement, de coopérer, de comprendre ce qu’est une raison d’être ensemble et d’œuvrer dans une énergie collective qui fait taire les intérêts individualistes et égocentrés.
Dans nos métiers toujours plus contrôlés sur leur qualité, la qualité est paradoxalement toujours moindre et toujours plus chère. Il y a de moins en moins de service, d’écoute, d’interlocuteur ; toujours plus de contrôle, d’audit, d’accréditation, de normes, les tarifs s’en trouvent toujours plus élevés.
Nous sommes dans une organisation sociale qui génère de l’escalade dans l’exigence et les attentes des clients, mais qui génère également de plus en plus d’insuffisance et d’insatisfaction.
Et dans ces multiples crises écologiques, crise de sens, mais on pourrait aussi ajouter crise financière, crise psychologique, crise du lien, il est difficile de se sentir juste connecté à l’essentiel : la vie, le partage, le lien, l’altérité, la nature.
En conséquence de quoi, si :
- Vous ne trouvez plus de sens à votre travail.
- Vous êtes sensibles à l’écologie et vous vous questionnez sur l’impact écologique de votre travail.
- Vous vous sentez seul.e.s dans vos convictions, dans vos valeurs, dans vos idées de l’avenir.
- Vous aimeriez trouver une orientation professionnelle qui a du sens pour vous tout en respectant les écosystèmes.
- Vous vous sentez démuni.e.s pour réinventer votre travail et/ou changer de voie.
- Vous souhaitez prendre part à la transition écologique et sociale.
… ce parcours est fait pour vous car il va vous permettre de vous reconnecter à vous même, de vous ouvrir aux métiers de la transition urgente et nécessaire, d’élaborer et designer votre nouveau parcours professionnel, de dépasser vos peurs et de repenser votre rapport au travail.
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