Contenu du cours
1 – Renouer avec vos envies profondes.
- Préparer son chemin, se mettre dans de bonnes conditions. - Se donner RDV : la lettre à soi. - Se reconnecter à ses meilleurs souvenirs et ses ressources. - Approfondir sa connaissance de soi avec son entourage.
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3 – Découvrir quel est votre “juste milieu”.
- Se tester avec une vision systémique. - Découvrir votre biotope, votre place écologique.
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PRENDRE UN TEMPS DE PAUSE
Faire un break : laisser maturer. - Ne rien faire. - Méditation de pleine conscience.
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4 – S’inspirer de ce qui existe et de ce que font les autres.
Découvrir des métiers pour soi, des métiers pour la planète ou les deux. - Des témoignages inspirants. - Explorer le monde dont on a besoin.
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5 – Choisir sa meilleure vie.
Le temps du choix. - Se laisser guider par son intuition, son inspiration et des analogies. - Écrire sa vie idéale et ses priorités. - Définir son design de vie professionnelle.
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EN CONCLUSION
Pour conclure simplement... à vous de jouer !
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Mon juste milieu
À propos de la leçon

2 - Reconnexion à soi : Identifier ce que vous savez déjà bien faire.

Se reconnecter à soi grâce au modèle permaculturel

4. Faire le changement le moindre pour le plus grand effet.

Lorsque l’on engage un changement, il est inutile de regarder de suite le sommet de la montagne, sans quoi vous allez être découragé. Regardez d’abord le premier petit pas que vous pourriez faire.

 

Quels seraient les premiers petits pas qui vous permettraient d’engager un changement de vie professionnelle ? Les tous petit pas ?

Souvent, on s’aperçoit que ce changement est conditionné par sa famille et la préservation de ses intérêts ou de son équilibre. On est sensible au regard que nos amis, nos collègues vont porter sur nos choix. 

La réussite d’une reconversion professionnelle est donc conditionnée à ceux qui nous entourent et à leur influence.

 

Face à l’adversité il y a plusieurs façons de réagir :

– Ne rien faire…Mauvaise option.

– Être agressif et se battre contre les autres…Pas mieux.

– Fuir… Pas davantage.

– Ou bien intégrer plutôt que séparer. C’est-à-dire, concerter le point de vue des uns et des autres, donner son opinion, ajuster et faire des compromis. 

Réunissez vos amies, votre famille, parlez à vos collègues, commencez à discuter avec des personnes qui exercent un métier qui semble vous intéresser.

C’est un premier petit pas.

 

Puis voyez ce dont vous aurez besoin pour démarrer un changement :

– Rencontrer du monde

– Trouver un local

– Recenser les besoins sur un territoire, etc.

Vous n’en êtes peut-être pas encore là, et c’est ok. Dans ce cas, interrogez simplement l’idée du changement. Comment cela serait pour votre entourage si vous changiez de travail ?

 

Mais ensuite prenez vos décisions pour vous-me : cette vision peut-être résumée par le slogan du mouvement de libération des femmes des années 1960-1970, « Ne me libère pas, je m’en charge ! ».

 

L’idée étant de se libérer des injonctions sociales pour être plus aligné à soi-même, tout en tenant compte de l’écosystème dans lequel on évolue.

En favorisant des systèmes lents et à petite échelle, on réduit l’effort d’entretien, on utilise mieux les ressources locales et on obtient des résultats plus durables
L’escargot est petit et lent, il porte sa maison sur son dos et peut se recroqueviller pour se protéger quand il se sent menacé. Le proverbe « Plus on est grand, et plus on tombe de haut » nous rappelle qu’il est dangereux d’être trop gros trop vite et la maxime « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » encourage la patience en reflétant une vérité courante dans la nature. (lien)